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MARS

MARS

Le 3 : Jour de “HINA-MATSURI” (la fête des poupées)

C’est le jour de la fête pour des petites filles. Dans chaque famille comptant une petite fille, on expose des poupées japonaises appelée “hina-ningyô” parées de kimonos traditionnels de la cour. À cette occasion, il est de coutume de préparer des mets tel le chirashi-zushi (ou le mazé-zushi), tout en souhaitant à sa fille une croissance sans heurt ainsi qu’une bonne santé.

Le 20 ou 21 :  Équinoxe de printemps

Du 17 au 24  : OHIGAN de printemps (Ce terme peut être traduit par l’autre rive, autrement dit le monde de la délivrance, selon le bouddhisme.)

 

Il est d’usage durant cette période de sept jours aux alentours de l’équinoxe, d’aller se recueillir auprès des tombes.

 

hinadan

 

Le mois de mars marque la fin de l’année scolaire. Pour ceux qui terminent leurs études, une cérémonie solennelle de la remise de certificats ou de diplôme leur est organisée. Pour ces derniers, c’est une période mitigée où un sentiment de tristesse due à la séparation avec leurs camarades s’alterne avec un sentiment d’espoir et d’espérance concernant leur avenir.

 

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Les anciens Japonais appelaient le troisième mois de l’année “yayoï“.

Le mot “yayoï“ signifie que des nouveautés sont nées l’une après l’autre. On voit partout des bourgeons, des herbes et des nouvelles feuilles, ainsi que des boutons de fleurs. Plusieurs Japonaises se prénomment “yayoï“, car elles sont nées en mars.

 

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Évènement du mois

Nagashi-bina

Le jours de Hinamatsuri, nous célébrons la fête des filles en parant les poupées Hina-ningyô. Ces poupées s’achètent normalement à la naissance de chaque nouvelle petite fille : la croyance veut en effet que ces poupées acceptent tous les maux de la vie de la petit fille, à sa place.

A l’origine, il existait une coutume chez les Chinois, au début du mois de mars : ceux-ci libéraient dans le fleuve les poupées, chargées des maux de l’année passée.

Le “Nagashi-bina” est une coutume qui se trouve dans certains régions, et qui mélange ces deux traditions : on libère en effet beaucoup de hina-ningyô (faites à la main, en papier ou en paille) dans la rivière avec les maux de l’année précédente, tout en souhaitant le bonheur pour l’année à venir.

 


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